Externalisation d’activités : comment choisir son prestataire extérieur  ?

Miser sur une expertise et une image de qualité

Il ne fait aucun doute que le prestataire extérieur choisi est directement lié à l’entreprise dont elle sous-traite les activités. La qualité de son service, l’image qu’il renvoie, les valeurs qu’il représente sont associées à celle-ci. La société devra s’assurer que le prestataire a suffisamment d’expérience dans son domaine ; s’enquérir de ses aptitudes à satisfaire convenablement ses clients dans les délais. Par ailleurs, l’esprit et les principes que prône le sous-traitant ne doivent pas être en contradiction avec l’entreprise.

Tenir compte de la localisation du prestataire extérieur

L’emplacement du prestataire est un point stratégique. Ce paramètre influence les rapports et la fréquence des échanges avec l’entreprise. Au-delà, ce sont les temps et les procédures d’exécution qui sont impactés. En effet, il est bien plus facile de contrôler les activités dans son espace géographique qu’en dehors. Faire sous-traiter des activités basées au Danemark en France n’est pas chose évidente. Toutefois, la taille du marché à couvrir peut peser dans la balance. L’accessibilité, le bon suivi, la rapidité et l’efficacité dépendent de l’implantation.

Identifier les plus-values pour l’entreprise

Une entreprise ne serait pas gagnante si elle n’est pas rentable. Il faut donc la préserver de ce qui pourrait nuire à sa rentabilité. Un sous-traitant doit être digne de confiance en protégeant les données aussi insignifiantes soient elles. Ce sont des informations sensibles qui, mal exploitées, peuvent avoir des conséquences fâcheuses. Il doit également proposer des solutions adéquates à des coûts raisonnables. Inutile d’investir plus qu’il n’en faut. Aussi, le prestataire doit-il répondre aux besoins de l’entreprise. Autrement, il ne lui serait d’aucun intérêt.